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Kyste ovarien... ou pas

03 juin... : j'ai RDV pour une nouvelle écho pelvienne pour ce p..tain de kyste, sorti de nul part, et non décelé à l'hôpital lors de mon RDV de préservation de la fertilité.

Je dois aller dans le même cabinet où j'ai passé mes mammos/échos, autant vous dire la joie intense que ça me procure ...

Bon comme d'habitude ils sont en retard... Je finis par être appelée....(tiens un nouveau à qui j'ai pas montré mes boobs... ha ouai mais bon lui il va voir mon graal !) Bref, comme d'habitude, silence radio... je lance la conversation... (bah oui avec un truc enfoncé dans le graal, on pourrait au moins discuter un peu, histoire de détendre l'atmosphère ...)

"- Alors qu'est-ce que vous voyez ?

- pourquoi on vous envoie ?

- lors de mes examens pré-op ils ont trouvé que j'avais un kyste sur l'ovaire gauche alors ils m'ont demandé de faire une écho pour voir

 - ha

 - et donc? vous voyez quoi ?

- c'est délicat

- ça veut dire quoi c'est délicat ?

- il y a bien quelquechose ... mais c'est pas un kyste

- quoi ? c'est quoi cette histoire encore ?! on me parle d'un kyste à l'ovaire découvert il y a 1 mois env., je suis allée dans un service spécialisé en fertilité où j'ai passé une écho pelvienne il y a 15j et on ne m'en a pas parlé du tout et là, vous me dites que j'ai quelquechose mais c'est pas un kyste ?! alors vous tournez votre écran et vous m'expliquez maintenant!"

J'ai eu une belle leçon .... de bottage en touche !

 

Mon ovaire gauche fait le triple de mon ovaire droit, j'ai une masse clairement délimitée à l'intérieur mais ce n'est pas un kyste et vu "mes antécédents", il ne se prononcera pas, c'est au centre où je suis traitée qui prendra la décision de la suite à donner, même si lui me conseille fortement de passe un IRM...

 

Dans ma tête, mille questions... Pourquoi ne m'en a-t-on pas parlé lors de mes exams pré-op ? Pourquoi n'a-t-on rien vu au centre de fertilité ? et si c'était une autre tumeur et ... Crotte !

Vous savez quoi ??? je me suis dit et bien tant pis je m'en fiche ! Parce que si c'est une tumeur et ben elle va s'en prendre plein la tête je commence la chimio la semaine prochaine !

HAHAHHHAHAHAAA rire de psychopathe !

 

 

 

 

 

Kyste ovarien... ou pas
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M
Bonjour les filles! Je vous écris pour partager mon témoignage en médecine procréative. J’ai vécu une expérience de la stimulation ovarienne. Je prenais du clomid, ovestant et urgestant. Et j’espère se retrouver celles qui se sont retrouvée dans la situation pareille. <br /> Lorsque notre couple a décidé d’avoir le deuxième enfant on était déjà parents d’un merveilleux garçon. Aujourd’hui notre fils a sept ans. Nous sommes vraiment chanceux d’éviter le moment de jalousie entre notre fils et le futur bébé. L’idée d’avoir une petite soeur lui plaît beaucoup. Au fait, depuis quelques mois déjà il nous demandait une petite soeur. <br /> Du coté professionnel et financier on a toutes les possibilités pour avoir encore un bb. Donc les circonstances me paraissaient bienveillantes. J’ai arrêté ma pilule. Je ne suis pas tombé enceinte tout de suite. Mais cela ne me paraît pas particulier. Car normalement le corps a besoin de reprendre ses forces. Ma gy ne me l’a pas affirmé. Les ovaires reprennent leur cycle normal dans quelques mois. Sinon, au cas opposé elle me prescrira les bouteurs.<br /> Euh donc on a laissé attendre. Deux mois. Puis trois mois. Après trois mois j’ai pris un rdv. La gyné me dit d’attendre encore un mois. Et si je ne réussis pas à tomber enceinte je prendrais une stimulation. Comme vous l’avez deviné, objectif fût failli. <br /> Et finalement j’ai commencé le traitement pour aider mes ovaires. Je prenais clomid depuis jour 2 jusqu’au jour 6 du cycle. Un comprimé chaque jour pendant cette période. Puis deux jours de pause. Le neuvième jour jusqu’à jour 14 deux C. d’oves tan. Un jour de repos. J 16 à j 26 unes c d’urges tant. Comme ça trois cycles de suite.<br /> Il faut admettre que la stimulation hormonale se sent assez fort. Même si elle est effectuée en mode doux, prolongé comme le mien. Durant le premier cycle je me sentais faible et aussi j’eus un autre genre de réaction. Un peu étrange. Je me croyais dégrader intellectuellement. Oui car soumise à l’action des pilules j’ai eu du mal à penser. Comme si ma tete était pleine de l’ouate. Et j’étais ralentie dans mes pensées.<br /> Au cours du deuxième cycle je suis devenue migraineuse. Ce n’est pas chaque jour que j’avais les maux de tete, mais assez souvent. Genre trois fois par semaine. Heureusement aucun saignement ou douleurs abdominales. Donc j’ai pu continuer le traitement. Pendant le troisième cycle quelquefois j’ai eu des vomissements. Mais rien de plus grave. <br /> Malheureusement la stimulation ne m’a pas aidé. Je ne tombais pas enceinte après cette thérapie. J’en ai parlé à ma spécialiste. Après le diagnostic on a découvert le problème. La qualité des ovocytes est insuffisante pour concevoir. Je pouvais avoir des enfants seulement à l’aide du don d’ovocytes. Un don très généreux. La gynécologue m’a adressé vers le centre pma local. Là notre couple a dû passer par la procédure de mise en protocole. Rien de très agréable en somme. J’ai eu l’impression que tout le personnel de l’hôpital m'a diagnostiquée. Et voyait mon vagin. Adieux la pudeur si vous etes en pma! <br /> Ce qui est vraiment dommage c’est qu'après être acceptée au dossier, j’ai attendu pendant un an et demie pour recevoir les ovocytes. De la part d’une inconnue que je ne pourrai jamais remercier. Je ne pourrai pas savoir à qui elle ressemble et à qui va ressembler mon enfant. J’ai eu plusieurs arguments pour chercher une autre solution. Et je l’ai trouvé dans une clinique à l’étranger. Elle s’appelle Biotex. <br /> Bien sur, les pma à l’étranger ne sont pas le paradis. Il existe une énorme quantité des aspects qu’il faut contrôler. Mais mon témoignage sera trop long si j’essaye d’expliquer tout dans un message. Pourtant ce qui m’a attiré vers la clinique à l’Est de l’Europe c’est l’absence de l’attente du don. La possibilité de voir à la moins votre donneuse. Car je crois que c’est important de faire connaissance avec une femme qui vous aide à devenir parent. <br /> Moi perso, pour l’instant j’attends le résultat de la deuxième Pds. La première a été positive, mais à vrai dire j’ai encore du mal à y croire. Donc c’est dans cette période d'attente que j’écris ce message.
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C
Moi j'ai une infertilité inexplicable après les traitements simples. J'ai suivi une thérapie des stylos Purogen. Mais ce traitement a rendu les choses plus compliqué. Ma médecin spécialiste n'arrive pas d'en trouver l'explication. La seule chose certaines c'est que je n'ai pas encore réussi à tomber enceinte du deuxième enfant. Ma première grossesse, je l'ai vécu sans souci. La seule chose grave qui m'arrivait en procreation était une fausse couche avant le premier enfant. Cette expérience de fc est bien tragique pour moi. Mais lorsque j'ai réussi la grossesse suivante je crois que ma fc est devenu une épreuve abattue. Un épisode triste mais survécut. Donc, après une grossesse saine et normale je ne pensais pas me retrouver en difficulté retomber enceinte. Au début de nos essayes, en théorie j'avais 5 ans du décollage entre les g1 et g2. Je me sentais à l'aise de porter le bébé. Je me sentais en pleine forme quoi. Lorsque vous désirez un bébé et vous vous sentez prête, n'est-ce pas le meilleur moment?Et pourtant, notre deuxième enfant s'est fait attendre. Je crois c'est après quatre mois d'essai que j'en ai parlé à ma gy. La première chose qu'elle a faite c'est un écho pelvien. Et elle a tout de suite découvert que ma réserve ovarienne est hors de la norme. Pas encore épuisé, mais une dystrophie des ovaires. Donc c'était possible de normaliser et booster mes ovaires. <br /> Comme thérapie la gy m'a prescrit des stylos, en tant qu'une nutrition spéciale pour optimiser ma fertilité. Ce système de nutrition consiste à consommer des produits riches en vitamine E, cholestérol bienfaisant etc. Mais si pour les gourmandises je n'ai que de l'appétit, j'avais des troubles à accepter les stylos. Même si c'est la solution la plus confortable et presque sans douleur. Sans attentes régulières de l'infirmière à l'hôpital. J'ai eu peur des piqures. Ce n'est pas une phobie. Mais je ne suis pas habituée à me piquer et j'ai du mal d'en penser! Seulement après une longue conversation avec la médecin. Et après une réflexion d’une semaine. J’ai finalement accepté la stimulation des ovaires. Mais je vous jure, si mon assurance n’a pas pu recouvrir les frais du traitement je crois que je l’aurais pu refuser. Pour toujours. C’est assez cher et en même temps peu agréable de pratiquer chaque jour. Et pourtant l’envie d’enfant m’a poussé vers la stimulation des ovaires.Les quatre mois se sont écoulés, mais les examinations ont montré le résultat négatif. La stimulation n’a pas marché. J’ovule peu. Après le spermogramme du mari la gynécologue m’a proposé le recours à l’insémination artificielle. On l’a accepté, mais sans résultat aussi. Iac n’a pas fonctionné. La médecin m’a dit que la dernière chance c’est la Fiv avec donation des ovocytes.<br /> On a décidé de continuer notre projet d’enfant. On était pret pour commencer le protocole de Fif don. Lorsqu’on a fini toutes les analyses nécessaires notre médecin spécialiste nous a accepté au dossier du traitement. Tout était parfait sauf les cellules. On a dû attendre au moins 6 mois. Je cherchais parmi mes copines, s’il y a quelqu’une qui aimera m’aider. Au fait ce que je pouvais faire c’est de demander de l’aide en expliquant ma situation. J’ai reçu beaucoup de compréhension de la part de mes amies. Mais je n’ai pas réussi à trouver celle qui aura accepté la stimulation hormonale. Et je les comprends, c’est un cadeau très généreux. Chercher une donneuse sur les forums et chat ça ne me rassure pas. J’ai commencé à chercher les cliniques qui disposent déjà des bases des donneuses. À l'étranger bien sur. La France, on en est encore loin. Je tiens à l’idée que les donneuses doivent être remboursées pour leur aide. Ou plutôt avoir une récompense durant la stimulation et fin la restauration complète après le prélèvement. Car pendant le traitement hormonal la femme a besoin du calme. Elle ne peut pas travailler en plein temps. Elle aura besoin de se reposer plus que d’habitude. Je l’ai appris durant ma propre expérience de stimulation. Et j’imagine que durant la donation des ovocytes la stimulation est plus forte. Bref, j’ai retrouvé quelques cliniques qui m’ont plu beaucoup d’après les informations des sites officiels. Puis en contactant les services clients de ces pma peu à peu j’ai réduit ma liste. Et à la fin la dernière qui clinique qui est restée se localisait en Ukraine. Mais ils ont aussi un office en Belgique. Heureusement j’ai pu résoudre la plupart des questions en e-mails. Donc je ne suis parti à Kiev que pour le rendez-vous avec le médecin et puis pour le traitement. <br /> A vrai dire, on a choisi le programme le plus économe à Biotex. Je n’ai pas voulu jouer avec les pma étrangers. Ça me suffit les pma français. Je pensais que si cela ne marche pas dès la première fois on abandonne. Dans les cliniques privées on essaye souvent de vous tirer le maximum d’argent. Ce pour quoi j’ai décidé de prendre le programme le plus simple. Minimiser le stress pour mon corps et minimiser les risques financiers. Mais à vrai dire ça ne coute pas cher, à comparer aux autres cliniques. Et heureusement le transfert d’embryons était successif. J’ai réussi à tomber enceinte. La grossesse et l’accouchement j'ai vécu déjà chez moi. Je suis devenue mère et tout ce temps j’étais en liste d’attente des ovocytes en France. Bizarre, mais je m’en fous aujourd’hui car j’ai fait un bon choix et nous sommes une famille heureuse. En quatre personnes finalement !
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S
Chère Allice, Merci pour votre témoignage. Je n'ose imaginer les épreuves que vous avez traversé.... Bravo pour votre détermination et la réalisation de vos projets.<br /> Bon courage et au plaisir d'échanger !<br /> <3
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A
Stef, merci à vous. Merci pour vos articles et votre compréhension <3 <3 <3 Désolée pour une réponse tardive, je viens juste découvrir votre réponse. <br /> J'espère que vous allez mieux. Les témoignages que vous partagez avec nous sont importants pour toutes celles qui ont rencontré l'obstacle de l'infertilité! Faites savoir où en êtes vous pour l'instant<3
A
Touché par le bilan d’infertilité chaque femme a pour l’objectif reprendre ça capacité de donner la vie. On se lance dans les traitements longs et souvent douleureux. Sans vraiment penser comment se restaurer après la pma. Comment revenir à mode de vie normale après les traitemnts hormonos? <br /> Je n’en ai pas pensé que jusqu’à la naissance de ma deuxième fille. Si pour ma première grossesse tout était naturel sans pma. Mais pour avoir le deuxième bébé j’ai du faire la fiv avec donation à Biotex. Il existe plein de procédures en pma. Et elles ne sont pas sans risques. <br /> Chaque recours à la fiv comprend la stimulation des ovocytes.La stimulation d’ovocytes a pour l’objectif la maturation de plusieurs follicules dans les ovaires. Le traitement est préscrit lorsque la femme a un récours à la fécondation in vitro, insémination artificielle ou lorsqu’elle devient une donneuse d’ovocytes. <br /> La procédure comprends plusieurs étapes et la durée est sensibilisé personnellement pour chaque femme. La stimulation ovarienne peut être précédée d'une première injection. Elle est destinée à mettre aux repos les ovaires de la donneuse. Elle a généralement lieu un mois environ avant le début de la stimulation. <br /> Pendant 10 à 12 jours la donneuse reçoit des injections sous-cutanées quotidiennes d'hormones. Ces injections ont pour but d'obtenir la maturation de plusieurs follicules ovariens pour pouvoir récolter plusieurs ovocytes prêts à être fécondés. <br /> Pendant cette période, la donneuse devra effectuer 3 à 4 prises de sang et/ou échographies ovariennes pour évaluer la réponse au traitement. Cette surveillance est indispensable pour la santé de la donneuse. L'hyperstimulation peut entraîner des douleurs ainsi que des troubles digestifs. Elle est aussi indispensable pour savoir quand arrêter la stimulation. Bien évidemment, la donneuse doit avoir des rapports sexuels avec préservatifs pendant toute la période de stimulation. <br /> Lorsque la maturation folliculaire est atteinte, une injection intramusculaire de HCG est faite pour déclencher l'ovulation. La ponction doit avoir lieu dans les 36 heures suivantes. Les ovocytes sont alors prélevés avec une aiguille par voie vaginale. La procédure est controlée à l'aide d'une échographie. Finallement les cellules sont stockés dans des tubes. La ponction peut avoir lieu sous anesthésie locale ou générale, selon les établissements hospitaliers et la demande de la donneuse. Donc aucune douleur !<br /> Généralement, la femme receveuse choisie par l'équipe médicale subit un traitement afin d'être prête à recevoir les ovocytes rapidement après le don. <br /> Mon cas de complication pour ces traitements est la présence d’un fibrome. Fibrome utérin ou encore myome. L’apparition du fibrome est totalement lié au niveau hormonale de la femme. C’est bien pour ça qu’on est leplus touchées par ce problème à l’age procréatif. Intéressant que après la ménopause les fibromes disparaissent ! <br /> Et pourtant je suis parmi ces femmes chanceuses qui ont le myomes. Elle est apparu après ma première grossesse. Très probable que suite à la contraception hormonale. Je prennais les pillules avant le bb 1 aussi. Je ne les ai pas changé. Mais peut-etre l’accouchement à changé quelquechose dans mon balance. Là personne ne pourra indiquer la raison. <br /> Je ne supposais pas la présance de cette anomaliechez moi. Elle fut découverte suite aux essays de retomber enceinte pour la deuxième fois. On a toujours voulu avoir 2 enfants dans notre famille. Je pense que c’est mieux avoir des frères et des soeurs. Je suis un enfant unique dans ma famille et j’ai toujours regreté d’etre seule.<br /> Donc lorsqu’on s ‘est rendu compte que les chosent ne vont pas naturellement, on a contacté le centre pma. Après les diagnostics j’ai fut acceptée pour le dossier de fiv. Mais à condition de operer mon fibrome découvert. Car j’avais une grande risque de fausse couche.<br /> Alors j’ai suivi une hystérectomie. A vrai dire j’avis peur d’etre opérée. Je n’ai jamais eu aucune intervention chirurgicale avant. J’étais préoccupée comment je vais passer par l’anasthésie génrale. Mais heureusement rien de grave. Seulement la période post opératoire était un peu difficile.<br /> Dès que j’ai repris mes forces féminines, j’ai commencé les fiv. Et bein évidamment les stimulations des ovaires! La deux tentatives n’ont pas marché. Alors j’ai changé la clinique et j’ai fait la troisième tentative. Cette fois là j’ai réussi à concévoir, mais j’ai fait une fausse couche. Les simulations ont réstauré le fibrome. Malheureusement! Elle n’est pas aussi grande que la première, mais elle m’empèche quand meme de concévoire. Les stimulations des ovaires m’ont ammené jusqu’au fibrome et reserve ovocytaire épuisé.<br /> Mais meme dans cette situation j’ai trouvé la solution. Je me suis rendu à Kiev pour la fiv avec donation d’ovocytes. J’étais surprise, car j’y ai rancontré les femmes solitaires qui ont suivi le fiv don eux aussi. La fiv don a était fructueuse. J’ai accouché par césarienne. Et après un an le fibrome a peu à peu disparu. Je l’observais toujours chez ma gynécologue. <br /> Donc suite à ma propre expérience, il faut faire les grands pauses entre les tentatives. Puisque notre santé est très délicate. Il vaut mieux attendre, que de traiter les résultats d’hyperstimulation comme j’ai du le faire. Prenez bien soin de vous chéries !!!
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J
Purée...
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E
Oui ....